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Harry potter tome 6 par La Source

 

 

Chapitre trois – La finale du championnat d’Europe

Pendant les sept jours qui suivirent, Harry ne pensa qu’au match. Ron lui avait expliqué les progrès qu’avait fait Krum pendant ce tournoi. Même si il n’avait pas crée de nouvelles techniques, il avait très nettement amélioré celles qu’il connaissait déjà. Selon Ron, l’Angleterre avait toutes ses chances maintenant que Harry était dans l’équipe : « Après tout, avait dit Ron, tu l’as déjà battu au tournoi des trois sorciers ». Au cours de cette semaine, Harry n’avait pas passé une journée sans entendre des explosions provenant de la chambre des deux jumeaux Weasley. Harry était qu’ils avaient l’intention de créer le plus de choses afin de les vendre au stade et ainsi faire de la publicité pour leur boutique.

Harry se réveilla en sursaut lorsque Ron vint lui dire qu’il était temps de partir. Il se leva, mit ses lunettes et pris son balai. Lorsqu’il arriva en bas de l’escalier, Mr Weasley lança :

- Tu ne dois pas prendre ton balai Harry. La fédération va t’en fournir un nouveau.

Harry approuva mais le fit à contrecœur. Il remonta dans sa chambre, posa son balai et sortit. Lorsqu’il arriva devant Mr Weasley, il demanda :

- On va prendre une cheminé au ministère.

- On ne peut rien te cacher Harry. Molly nous attend déjà là-bas. Allons-y maintenant.

Le trajet pour aller à la cabine téléphonique dura très longtemps aux yeux de Harry. Quand ils arrivèrent, Mr Weasley demanda à Harry de rentrer en premier dans la cabine. Harry rentra et fut bientôt suivit de Ron, Fred, George et Ginny. Mr Weasley rentra et tapa le numéro de téléphone « 6 – 2 – 4 – 4 -2 ». Soudain la voix féminine que Harry commençait à bien connaître résonna dans le combiné.

- Bienvenue au ministère de la Magie. Veuillez indiquer votre et l’objet de votre visite.

- Arthur Weasley, Harry Potter, Ron Weasley, Ginny Weasley, Fred Weasley, George Weasley… nous venons pour prendre la poudre de cheminette afin d’aller à la finale du championnat d’Europe de quidditch.

- Merci. Les visiteurs sont priés de prendre les badges et de les attacher sur leur robe de façon à ce qu’ils soient bien visibles. Mr Weasley prit la demi-douzaine de badges qui apparurent dans le réceptacle de métal destiné à rendre les pièces inutilisées et les distribua. Le badge de Harry portait la mention : « Harry Potter, finale de quidditch ». La voix féminine s’éleva à nouveau :

- Les visiteurs sont priés de se soumettre à une fouille et de présenter leur baguette magique pour enregistrer au comptoir de la sécurité situé au fond de l’atrium.

Le plancher de la cabine se mit alors à vibrer et se mit à descendre lentement dans le sol. L’obscurité se fit et ils entendaient alors seulement un grondement sourd jusqu’à ce qu’au bout d’une minute, la lumière réapparut et le plancher s’arrêta quand la voix lança :

- Le ministère de la Magie vous souhaite une bonne journée.

Ils se dirigèrent alors sur leur gauche vers les cheminés dans lesquelles régulièrement une sorcière ou un sorcier émergeait dans un bruissement discret. Harry se rendit compte que les statues d’or avaient repris leur place au centre de la fontaine qui se situait au milieu du hall. Harry remarqua alors en regardant autour de lui qu’une cheminée était complètement libre. Mrs Weasley se tenait seul devant cette cheminée. A côté d’elle se dressait un écriteau sur lequel il était écrit : Finale du Championnat d’Europe de quidditch en Bulgarie Cheminée réservé à Mr Harry Potter, Mr Arthur Weasley, Mr Ron Weasley, Mr Fred Weasley, Mr George Weasley et à Miss Ginny Weasley.

Mrs Weasley s’avança vers son mari et lui demanda :

- Tous c’est bien passé ? Il n’y a pas eu de problèmes sur le trajet.

- Aucun problème.

- Alors tant mieux. Harry, j’espère que tu vas bien.

- Très bien, mentit Harry qui sentait très nettement son niveau de stress augmenter.

- Bon, dit Mr Weasley en regardant l’horloge du hall, il est temps d’y aller. Molly, nous reviendrons certainement dans la soirée. Ne te fait pas de soucis. Celle-ci dit au revoir à tous ses enfants puis à Harry qu’elle sera tellement qu’il en eu presque la respiration coupée.

- Tu sais comment marche la poudre de cheminette, Harry, interrogea Mr Weasley.

- Oui

- Il faut que tu dises très distinctement « Stade national de quidditch de Bulgarie ».

- OK

- Incendio ! s’exclama Mr Weasley en pointant sa baguette vers le trou dans le mur.

Des flammes s’élevèrent aussitôt dans la cheminée en craquant allégrement, comme si le feu brûlait depuis des heures. Mr Weasley sortit de sa poche un petit sac fermé par un cordon, l’ouvrit, retira une pincée de poudre et la jeta dans les flammes qui prirent une teinte vert émeraude.

- Vas-y le premier, Harry, dit Mr Weasley.

Harry s’avança dans les flammes et annonça : « Stade national de quidditch de Bulgarie ! ». Un instant plus tard, Harry se mit à tournoyer sur lui-même de plus en plus vite et le hall du ministère disparut dans un tourbillon de flammes vertes comme l’émeraude. Quelques instant plus tard, Harry se retrouva face contre terre. Il se releva et prit ses lunettes. Pour une fois, elles n’avaient rien de casser. Il fut suivi des cinq Weasley qui l’accompagnaient. Ils se trouvaient tous les trois dans un couloir aux murs verts comme la robe des joueurs de l’équipe de Bulgarie. Par terre, un long tapis rouge était étendu. En face de Harry, un panneau indiquait en anglais : « A votre gauche : vestiaire de l’équipe anglaise. A votre droite : vestiaire de l’équipe bulgare ». Un peu plus haut, un message que Harry était incapable de lire devait certainement dire la même chose en bulgare. - C’est à gauche, lança Mr Weasley. Tous les six, s’engouffrèrent alors dans le couloir en suivant le tapis rouge. Au bout d’environ cinq minutes de marche, ils arrivèrent devant une porte sur laquelle un panneau sens interdit était accroché.

- A partir de là, seul les joueurs et l’entraîneur de l’équipe d’Angleterre peuvent pénétrer. Bon eh bien, Harry, je te souhaite bonne chance et j’espère que tu feras honneur à nos couleurs.

- Merci, dit Harry. On se retrouve tous avec Hermione à la fin du match ?

- D’accord, dirent tous les autres. Harry sera la main de tous ses accompagnateurs et poussa la porte.

Il fit quelques pas après avoir refermé la porte et se retrouva alors dans une pièce sombre où la lumière avait du mal à pénétrer par la petite lucarne qui devait donner sur les gradins car Harry entendait les cris de la foule. Au bout de la pièce, un banc se dressait allant d’un bout à l’autre du mur. Derrière les bancs, se tenaient sept casiers avec les noms des joueurs de l’équipe d’Angleterre : Tony Wilkinson, Gardien ; Rudy McAllister, Batteur ; Boby McAllister, Batteur ; Jonathan Simpson, Poursuiveur ; Albus Devil, Poursuiveur ; Andy Warthog, Poursuiveur et… Harry Potter, Attrapeur.

Harry ouvrit son casier et vit alors un éclair de feu flambant neuf et une robe blanche sur laquelle une rose rouge était brodée mais aussi « Harry Potter » en lettre d’or. Harry commençait à enlever son T-shirt quand la porte par laquelle il était rentré s’ouvrit. Sept silhouettes apparurent alors dans la pièce et Harry remarqua que comme lui, il n’était pas bien gras et pas bien costauds. Harry reconnut en eux les joueurs anglais qu’ils avait déjà vu dans un livre de Ron. L’homme le plus vieux qui était certainement l’entraîneur de l’équipe s’avança vers Harry et dit :

- Ah, voilà notre nouvel attrapeur. Messieurs, je vous présente Harry Potter que vous connaissez déjà de nom. Les six autres personnages le saluèrent, se présentèrent et allèrent se préparer. Quand Harry fut prêt, l’entraîneur lui dit :

- Harry, il faut que tu saches que je ne prononce jamais de discours avant un match. Les joueurs savent déjà ce qu’ils ont à faire et je ne fais pas exception avec les nouveaux. Je sais que tu sais ce que tu as à faire car je t’ai vu jouer contre Serpentard à Poudlard. Puis il ajouta à haute voix pour que tout le monde puisse l’entendre :

- Nous n’avons de capitaine attitré dans cette équipe. Chacun des joueurs est capitaine au moins une fois. Je propose que ce soit toi qui endosse le brassard de capitaine pour ce match. Tu auras ainsi l’honneur si nous gagnons de recevoir la coupe en premier.

- Merci beaucoup, répondit Harry qui avait peur de se mettre à pleurer.

- Nous allons aussi tous porter un brassard noir en l’honneur de David. Harry tu devras mettre ton brassard de capitaine au dessus de celui qui signifie le deuil. Bon match à tous.

Harry mit les deux brassards et sortit des vestiaires avec son balai et les six autres joueurs de son équipe. Ils passèrent devant la cheminée par laquelle Harry était arrivé et s’arrêtèrent à un carrefour. En face d’eux, l’équipe Bulgare dont les joueurs portaient une robe verte arrivait à grands pas, Victor Krum à sa tête. Krum dit alors bonjour à Harry :

- Bonjour Harry ! ! !

- Bonjour Victor ! ! ! Bravo, tu as fait des progrès en anglais.

- Merci Harry mais il faut surtout remercier Hermione.

Soudain, un coup de siffler retendit et les joueurs entrèrent sur le terrain sous les cris des spectateurs et du commentateur bulgare. Harry sentit alors des centaines des multiplettes braquées sur lui. Harry réussit quand même à entendre les noms des joueurs anglais : « Wilkinson ; Rudy McAllister ; Boby McAllister ; Simpson ; Devil ; Warthog ; Potter ». Les supporters bulgares qui avait sifflés au nom de tous les joueurs applaudirent au nom de Harry. Cependant, ils hurlèrent complètement à l’entente du nom des joueurs bulgares : « Dimitrov ; Ivanova ; Zograf ; Levski ; Vulchanov ; Volkov ; Krum ». Au milieu du terrain, l’arbitre, que Harry reconnut pour avoir était l’arbitre de la finale de la coupe du monde, demanda aux deux capitaines de se serer la main. Harry sera alors avec plaisir la main de Krum et monta sur son balai. Lorsque Mr Mostafa ( l’arbitre) ouvrit la boite qui se trouvait à ses pieds, les quatre balles surgirent et le match commença. Les joueurs s’élevèrent dans les airs et ne fallut pas longtemps à la Bulgarie pour marquer les dix premier points du match. Harry regarda alors le panneau d’affichage du score qui affichait : Bulgarie : Dix ; Angleterre : Zéro.

Tout en cherchant le vif d’or, Harry regarda le stade dans son ensemble. Il ressemblait beaucoup au stade où s’était déroulé la finale de la coupe du monde mis à part qu’il était un peu plus petit. Harry était suivi de très prêt par Krum qui cherchait lui aussi désespérément le vif d’or. Soudain, il eut une idée : la feinte de Wronski. Il se mit alors à foncer en direction du sol. Krum fit de même et ne paraissait pas comprendre se que s’apprêtait à faire Harry. Lorsqu’il ne fut plus qu’à deux mètres du sol, Harry remonta en piquet sous les acclamations du public tandis que Krum faisait de même. Harry regarda à nouveau le score : Bulgarie : Quarante ; Angleterre : Zéro. Harry retenta alors la feinte et cette fois alla un peu plus bas. Krum qui avait quand même hésité à le suivre le suivi encore une fois mais remonta quand même avant Harry. Par quatre fois, Harry recommença. De temps en temps, il regardait le panneau d’affichage qui affichait à présent : Bulgarie : 150 ; Angleterre : 10.

Harry ne pouvait pas entendre le commentaire et ne savait donc pas qui avait marqué pour l’Angleterre. Après une dizaine de minutes, Harry aperçut enfin le vif d’or qui voletait à environ un mètre du sol. Harry regarda Krum qui n’avait pas l’air d’avoir vu le vif d’or. Harry fonça vers le sol mais cette fois ce n’était pas une feinte. Krum pensant sans doute que s’était encore une feinte, ne bougea pas et lorsqu’il aperçut le vif d’or, il était trop tard. Harry avait pris trop d’avance. Harry n’était plus qu’à deux mètres du sol quand il tendit la main vers le vif d’or qui ne bougeait pas. Ce temps lui parut interminable mais lorsque ses doigts se refermèrent sur le vif d’or, Harry n’en croyait pas ses yeux : IL ETAIT CHAMPION D’EUROPE DE QUIDDITCH. Harry remonta en brandissant le bras et en criant qu’il avait gagné. Mr Mostafa siffla la fin du match et le panneau d’affichage afficha : Bulgarie : 150 ; Angleterre : 160.

Lorsqu’il se posa, sous les hués des supporteurs bulgares, tous les autres joueurs de l’équipe se précipitèrent sur lui. Même Victor Krum avait tenu à le féliciter avant de monter recevoir la médaille d’argent. Harry demanda aux autres joueurs de son équipe de monter avec les joueurs de l’équipe bulgare. Ils acceptèrent en disant qu’ils ne pouvaient rien lui refuser. En arrivant en haut des gradins, Harry vit Mr Weasley, Ginny, Fred, George, Ron et Hermione lui crier d’une même voix :

- BRAVO HARRY ! ! !!!!!!!!!!

Harry les remercia et vue que Mr Fudge était présent et qu’il avait l’air plus heureux que jamais. Lorsque les bulgares eurent reçu leur médaille, Harry s’avança vers le bureau sur lequel était posé la coupe qui représentait un terrain de quidditch en or. Lorsqu’il arriva devant Fudge, celui-ci lui dit :

- Bravo mon petit Harry. Grâce à toi, l’Angleterre est la meilleure équipe d’Europe.

Le président de la fédération n’a pas pu venir voir le match mais elle te rencontrera demain au ministère. Et maintenant, tu vas recevoir la coupe des mains de mon homologue bulgare. Harry s’avança devant le ministre bulgare de la magie. Ce n’était pas le même que Harry avait vu deux ans auparavant. Il était petit, gros et il ne lui restait plus aucun cheveu. Il avait un nez aquilin et des yeux aussi verts que ceux de Harry. Harry appela Krum car il voulait absolument partager cet instant avec lui. Harry et Victor privent la coupe en même temps et la soulevèrent sous les cris hystériques des spectateurs. Harry avait la certitude que rien ni personne ne pourrait gâcher un instant aussi magique que celui-là. Mais soudain, des éclairs verts apparurent un peu partout dans les gradins. Harry fut tiré de cet instant de rêve par les cris d’horreur de la foule.